EDITO de NEXUS N° 46
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Le 19 Juillet dernier, nous apprenions le refus de l'administration de permettre à NEXUS de continuer à bénéficier du taux de TVA à 2,10 %, comme c'est le cas de l'ensemble de la presse d'information. Il ne fait décidemment pas bon informer sur le principe vaccinal au pays de Pasteur.
Ainsi : « En ce qui concerne NEXUS, il ressort des pièces versées au dossier, et notamment des numéros 37 à 43, que cette publication, en contestant dans de nombreux articles les acquis positifs de la science, mettant en doute l'innocuité des vaccins, et partant, le principe même de la vaccination ou celui des greffes d'organes, est susceptible, si elle est lue au premier degré, d'inquiéter les esprits les plus fragiles et ne présente pas, de ce fait, le caractère d'intérêt général quant à la diffusion de la pensée requis par les textes. »
La Commission paritaire des publications et agences de presse ( CPPAP ), officiant au sein des services de Matignon et à laquelle ne siège aucun scientifique, ne nous donne pas plus de détails sur le bien-fondé de sa décision. En effet, il lui suffit de se référer à sa ligne directrice qui exclut de l'intérêt général tout ce qui peut porter atteinte à la santé publique. Le problème reste que la médecine n'étant pas une science exacte, la remise en cause des acquis permet justement ses avancées. Les avantages de la vaccination n'ont pourtant jamais été démontrés par aucune étude scientifique.
Dormez tranquilles, braves gens. Que vos " esprits fragiles " ne s'inquiète de rien, les praticiens et les experts, même s'ils reçoivent leurs informations du lobbie pharmaceutique qui évalue l'enjeu scientifique en milliards d'euros, savent bien ce qui est bon pour vous.
Après avoir accusé le coup porté aux finances de la revue, nous préférons y voir l'opportunité de nous libérer de toute tutelle, fusse-t-elle institutionnelle et de continuer à jouer notre rôle de poil à gratter les dogmatiques.
Malheureusement, cette liberté de vous offrir une information rare, parfois dérangeante, a un prix : celui de la hausse de TVA à 19,6 % occasionnée.
Nous sommes donc contraints, alors que le prix de la revue était resté inchangé depuis sa sortie en 1999, de la répercuter sur le tarif de NEXUS à 6,40 €. Malgré un tirage honorable parvenu à 23 000 exemplaires, nous vous suggérons de parler plus que jamais de NEXUS autour de vous afin de participer au développement indispensable à sa survie.
Au sommaire de ce numéro de rentrée : dernières news de l'énergie libre avec un coup de projecteur sur les super électrolyses productrices d'hydrogène une passionnante alternative cosmologique au Big Bang réconciliant relativité et physique quantique, les coulisses géopolitiques du narcotrafic planétaire… et autres délits de pensée non prémâchée.
Et puis, tant qu'à être libre, rien de tel qu'une petite révolution copernicienne : un dossier explosif établissant scientifiquement que le cerveau n'est ni la cause ni le siège de la conscience humaine, mais opère comme une interface.
Les résultats des dernières études scientifiques sur les expériences de mort imminente sont précurseurs d'un changement de paradigme dont la portée reste difficile à mesurer : la conscience n'est pas la résultante des processus neurologiques et manifeste même une identité et des capacités décuplées lors de leur cessation. L'ensemble des peurs humaines reposant sur l'effroi face à l'échéance fatidique, difficile de penser que vous puissiez sortir de ce dossier plus " fragiles ".
Bonne rentrée, bonne lecture et à la prochaine.
David Dennery