C'est pas Scohy qui innove, c'est Linus Pauling
Maintenant au diable les théories et voyons la pratique.
Et la pratique (de mon copain naturopath...étique) montre des résultats sans effets nocifs (il associe souvent le magnésium y a-t-il une relation ?)
Et comme toujours, les effets placebo ou nocebo selon nos croyances.
Je suis convaincu que nos croyances sincéres sont toutes puissantes, dans un sens comme dans l'autre.
Au sujet de :
1) Linus Carl Pauling est l'une des rares personnalités à avoir reçu deux prix Nobel : le prix Nobel de Chimie en 1954 et celui de la Paix en 1962. Ce fait reflète à lui seul l'étendu des champs d'intérêt de ce scientifique qui donna naissance, tout au long de sa vie, à près de 350 publications sur des sujets variés : structure des cristaux et des protéines, ferromagnétisme, nature des liaisons chimiques, propriétés de l'hémoglobine, etc.
2) Pauling, par ses observations, conclut que les acides ascorbiques étaient responsables des "happy effects" (regain d'énergie). La molécule d'acide ascorbique, appelée vitamine C est une simple combinaison du carbone, de l'hydrogène et de l'oxygène. Il a découvert que cet acide réduit le développement et aide à diminuer les risques de contracter certains virus comme le cancer et le rhume. Quand Pauling divulgua les résultats de ses recherches, certains avaient confiance en ses théories alors que d'autres croyaient que ce n'était que du plagiat. Plusieurs personnes affirmaient même que Linus avait trouvé un moyen pour vendre la vitamine C. Même les journaux (journal Science et National Academy of Sciences) refusaient de publier ses recueils scientifiques. Par des essais effectués sur des patients, il réussit enfin à prouver qu'il avait raison.
Il s'associa avec Dr Ewan Cameron et ils effectuèrent de nouvelles recherches. Ils constatèrent que seulement 20 g à 30 g de vitamine C par jour pouvait prolonger la vie, jusqu'à 300 jours (pris à un certain niveau de la maladie), des patients atteints du cancer. Malgré tout, il fut contredit par le Dr Charles Moertel de la clinique Mayo qui affirma que la vitamine C n'était pas un moyen thérapeutique de traiter le cancer. Pauling constata qu'il manquait d'informations pour débattre davantage son idée. Il laissa la place aux chercheurs pour résoudre ce conflit.
Conflit jamais résolu MAIS à aucun moment il ne fut question de toxicité de la vitamine C.

Il est mort à 94 ans

d'un cancer de la prostate et était arrivé à consomer jusqu'à 40g de vitamine C par jour, ce qui tend à montrer :
- la non toxicité invoquée fréquemment dans les Tables de la Loi
- la vitamine C n'est pas non plus la panacée universelle, ni la liqueur des dieux
- que la relativité est, elle, absolue.
